EldorachLa flèche atteint l'un des allemands dans le genou, ce qui est extrêmement douloureux mais qui en plus est très gênant pour marcher et courrir. tandis qu'il encoche une nouvelle flèche, Eldorach sourit avec une pointe de sadisme
AldebbarantAldebbarant ayant pris ses ordres arriva sur les remparts et vit Rakovski un peu en difficulté, il descendit donc aussi vite que son arnachement lui permettait et rejoint Rakovski pour le soutenir sur ses flancs lorsqu'il vit Théoldprez, son ami, touché par un coup de taille
Ni une ni deux, il fonça dans la mélée, faisant chuter un teuton d'un coup d'épaule et en tuant un autre d'un coup d'estoc
Ayant créé une breche suffisante, il prit Théoldprez par le bras et le reconduisit vers la ville et le tirant
Messager de Poligny
InvitéUn messager de poligny arriva au devant de la ville, un carreau dans l'épaule, sans doute s'était il fait touché par les allemands, il hurla de toute sa voix
"LE CAPITAINE VITE!!! OU EST LE CAPITAINE!!!"
Il tomba de sa monture, inconscient, un parchemin en main, celui ci était destiné au capitaine:
* Capitaine,
A Poligny, depuis mon dernier message, bien des choses ont changées , des ennemis infiltrés dans le village ont empoisonnés nos ressources, nous n'avons plus les moyens de manger ni boire. Mais hélàs il semblerait que nous cumulons les catastrophes, une ferme a été incendiée et cette incendie grandissant menace de bruler toute la ville mais j'ai donner des ordres qui devraient calmer ceci... Cependant le sergent Sirius, a autoriser l'ordre teutonique a entrer en ville pour aider a éteindre l'incendie (sans mon accord), à rajouter a cela, l'armée du baron est arrivée, et qui plus est, les agents se sont foutrement planté, ils sont deux fois plus nombreux que ce qu'ils avaient prévus, a l'heure où j'écris ce message, je pars a la rencontre de leur émissaire mais je doute que je puisse les laisser s'approcher de moi sans que j'aie envie de les tuer comme des chiens. J'éspère que tout va bien de votre côté,
Lieutenant Sirkis *
BralicLa pierre fichée dans l'armure lui arracha un cri de douleur quand celle-ci fut retirée. En gromellant, Bralic descendit une grande goulée de sa flasque, espérant que Daresha n'avait rien remarqué de la douleur pourtant lisible sur son visage. Il tourna la tête pour regarder sa blessure. visblement l'os avait tenus le coups, mais la plaie elle, n'était pas belle à voir.
EldorachEldorach vit Rakovski s'effondrer le nez en sang. Il tira sur Heinrich mais sa main brûlée par le cuir ripa et la flèche partit se ficher dans la poutre d'une maison. Il jura et entreprit de courir après le teuton.
Eldorach frissona, le soir commençait à tomber et il devinait sous sa veste en cuir ses teutons qui pointent
Nikos DalaranLa fleche d'Eldo avait raté sa cible mais avait bien trouvé une jambe allemande où se figer.
Nikos couru près de son dernier allemand encoree en vie et meugland comme un veau. Il le protégea de son bouclier, ne voulant pas que les autres tuent leur dernier prisonnier.
AldebbarantAyant rejoins la ville il adoss Theoldprez contre le mur interieur pour voir sa plaie. Heureusement elle n'était pas très grave. Il le prit quand même sur ses épaules et l'emmena à l'infirmerie pour le faire se soigner.
Revenant sur les remparts, il vit Bralic faire la grimasse, il s'approcha donc et vit sa plaie.
Alors Bralic, t'es pas assez moche que tu nous fait encore une grimasse dit il à son vieux compagnon
Alors qu'est ce que je dois faire bougre d'âne depuis hier soirt que j'attends mes ordres
DareshaLa jeune intendante fit comme si de rien n'était. Le Capitaine avait sa fierté. Elle lui adressa juste un sourire. Elle regarda examina la blessure. Bralic ne bronchait pas.
L'os n'est pas cassé. Mais votre blessure n'est pas belle du tout.
Elle sortit un petit flacon et nettoya la blessure. Elle était profonde. On voyait l'os.
Je suis désolée, ça pique mais c'est pour la bonne cause... Vous n'aimeriez sans doute pas être amputé d'un bras, vénéré capitaine.
Puis elle prit l'aiguille et le fil et se mit à recoudre la plaie. Voyant le capitaine grimacer, elle attrapa un autre petit flacon et le lui donna.
Se sera plus efficace que votre whisky, faites moi confiance, dit-elle en souriant.
Une fois la plaie recousue, avec difficulté, elle posa un bandage bien serré.
Votre blessures est sérieuse capitaine. Je vous interdit de faire le moindre effort...
RakovskiTudieu! Qu'est-ce qui se passe?! C'est le pont levis du chateau de Dôle qui m'est tombé dessus ou quoi? pense Rakovski à terre
Notre héros n'a pas mal, le sang lui bat les tempes, un liquide poisseux glisse sur son visage, les étoiles devant ses yeux sont belles et mouvantes, le mur derrière son dos est très certainement en pierre, la tâche qui apparaît entre les étoiles ne lui plait pas bien, ça lui fait penser à un phénomène épouvantable que lui avait décrit son grand père, lorsqu'une nuit la lune alors ronde avait disparu pendant quelques minutes, une malédiction paraît-t-il, une malédiction...
Madédiction! Hurle Rakovski alors que la tâche devant ses yeux est devenue immense, rouge avec des motifs jaunes, malédiction, dans un geste désepéré il tire sur lui son bras gauche, espérant que l'écu qui y était accroché quelques secondes au paravant y est encore!
Crraac, Heinrich, a deux mains a abattu son épée sur le bouclier de Rakovski qui vient de s'interposer entre l'acier et la chair, le bouclier explose, le gantelet s'ouvre comme un orange trop mure, le sang gicle...
Rakovski s'écrase un peu plus contre le mur, cette fois, il a mal, il sait pas trop où mais ne veut pas savoir, le sang bat de plus en plus à ses tempes, il fait soudain voler son bras droit qui tient toujours sa fière épée devant lui, en un arc de cercle; l'épée finit sa course dans la jambe de l'allemand attaque le tibia du personnage à l'uniforme flamboyant qui tombe à terre.
C'est heureux que je recouvre la vue songe Rakovski, mais pas le temps de penser, l'allemand à terre trouve toujours la force de soulever son épée et l'abbat sur Rakovski...
Autour des deux personnages à terre, leurs blessures ont formé une flaque de boue...
Rakovski roule sur la droite précipitament, l'épée s'enfonce de toute sa longueur à 3 pouces de son visage. RAkovski, lachant son épée et saisissant une dague, prend alors appui de toutes ses forces sur le mur derrière lui et se jette sur l'allemand, dardant le coutelas vers le cou de l'adversaire bavarois, _ou pas, c'est fou comme l'esprit de Rakovski est froid alors que le combat fait rage, c'est comme si son corps et son esprit étaient dans deux espace-temps différents.
L'allemand, à deux mains, retient le bras armé de Rakovski, et il ne serait pas loin de le repousser si du coin de l'oeil Rakovski ne s'apercevait qu'une écharde monstrueuse lui sort du bras gauche.
Avant que son arme ne se retourne contre lui, Rakovski frappe violement l'allemand du bras gauche, le craquement hérisse les poils de Rakovski, mais le bout de bois atteint sa cible, l'oeil maintenant sans vie de Heinrich qui s'effondre sans vie sur Rakovski qui se laisse tomber dans les nimbes de l'évanouissement, son bras gauche ayant adopté la position toute militaire du trébuchet.
BralicPas le moindre effort ? M'enfin ! J'ai une guerre à menée moi ! Aidez moi à me relever au lieu de dire des anneries
Il tourna la tête vers Aldé
Mais qu'est ce que tu fous là toi , t'es pas censé être au fin fond du Périgord ? Et quels ordres ? Et pis comment t'es rentré ? Et puis aide moi à me relever !
DareshaDaresha aida le Capitaine à se relever.C'est qu'il n'était pas léger le capitaine...
Faites quand même attention....
On va pas passer notre temps à vous recoudre...
Dès que j'aurais fini de faire le tour des blessés qui sont ici, je vous ramènerais un onguen cicatrisant.
Mais c'est vous qui voyez...
EldorachEldorach contemplait son ami avec un sourire. Il se disait que quand même il avait du panache et que son style étati assez agréabe à regarder. Certes il avait l'air de souffrir un peu de quelques blessures benignes, mais il s'en sortait plutôt bien. Inutile de gaspiller une flèche et de risquer le blesser
LucasEn arrivant a la mairie, Lucas constata que Merove et le conseil avaient la situation bien en main.
Les incendies etaient stabilises et la fumee venant d'a cote de la grange du vieux John diminuait deja.
Lucas refit le tour des differentes equipes de villageois en charge des incendies. Il permis aux plus fatigues d'aller se reposer et demandat aux jeunes de rester en alerte au cas ou les archers incendiaires remetraient ca.
Il reparti alors en direction de la cantine... Il allait falloir bien nourrir les hommes ce soir apres cette dure bataille.
En chemin, il passa chez la mere Marguerite, une fermiere veuve d'une soixantaine d'annee qui avait 5 filles et qui avait toujours bien servi le village. Il savait qu'elles seraient toutes pretes a aider a nourrir l'armee de Franche Comte qui defendait vaillament le village... Il demanda aux 6 femmes de venir aider a la cantine...
AldebbarantMoi aussi ça me fait plaisir de te revoir
aide Bralic à se relever
Ben oui je suis supposé être au fin fond du Périgord, mais je suis Franc Comtois quand même et n'essaye pas d'en douter.
Et je suis rentré en passant par la riviere tout con non? y'a un passage par les égouts de la ville, et je suis passé par là. Seul ceux qui vivent ici peuvent y penser^^
Et pour les ordres bah on s'en fout je ferais comme toujours suivant mon idée
Mais tu devrais écouter la madame, c'est pas joli ce que tu as à l'épaule.
Nikos DalaranQuelques mètres plus loin le lieutenant entendit encore quelques cris qui se turent bientôt.
Sous les yeux d'Eldo, Nikos releva son "prisonnier" qui gesticulait comme un diable sur sa jambe.
Attache le moi bien Eldo, nous en aurons besoin certainement !!
Alors que le soldat s'avèrait à lui lier les poignées, le lieutenant enleva toute la poussière qu'il avait dans les yeux et rechargea son arbalete au cas où, qu'il replaça sur son dos.
Son allemand bien saucissonné, il passa à travers tous les soldats, le regard ne pensant qu'à occire une fois pour toute cet intru.
Le lieutenant leur fit signe de reculer, le voulant vivant.
Nikos retrouva finalement le Capitaine qui semblait bien atteint lui aussi, comme s'il avait été en plein milieu de l'explosion.
le lieutenant jetta l'allemand qui se retrouva à genou devant un Bralic en petite forme.
Voilà ce que je vous ramène capitaine !!
A présent je me retires, il faut que je vois au plus vite si ma fiancée va bien !!
N'attendant même pas sa réponse il tourna les talons et parti d'un pas lourd vers sa demeure.
BralicEt ma main dans ta tronche ? Elle est jolie espéce de Bressan ?
Lui adresse un franc sourire et se retourne pour constater que l'armée ennemie bat maintenant en retraite et commence à s'éloigner à l'horizon
Bon... c'était encore une journée bien remplie.... il se tourna vers Daresha je dirais pas non à un petit coups d'onguent... On a eu beaucoups de pertes ?
DareshaSe tournant vers Aldé.
La madame s'apelle Daresha.
Puis au Capitaine en souriant.
Je m'occuperais de vous tout à l'heure. Promis.
Quand aux pertes..je ne sais pas encore. Je vous dirais ça dans la soirée.
Lieutenant Feldgrau
InvitéLe Lieutenant Feldgrau était maintenant saucissonné par les Francs-Comtois. Pire sort que la mort, il était prisonnier dans un pays dont il ne parlait un traitre mot.
Il regarda les visage autour de lui et comprit qu'il n'avait aucune pitié à attendre... Chacun des habitants présents lui adressa un regard emplis de haine, n'eut ils attendus les ordres du capitaine ils l'auraient dépecés sur place.
Und Scheisse !
Eldorach Eldorach ligota N'a qu'un oeil comme un saucisson. Sans délicatesse il lae traina par le bout de la corde dans la boue.
Aller vient avec moi mon mignon. Le capitaine Bralic sera ravi de pouvoir tailler la bavette avec toi
BralicOn va commencer par noyer les foyers d'incendies, puis on va ramasser nos corps et récupérer la viande de bosch pour la jeter aux loups en forêt... pas besoin d'enterrement pour ceux qui s'en prennent à la franche-Comté. J'interdis tout service funébre à l'ennemi. Compris ?
Ensuite on va partir filer un coups de main à Poligny.
La guerre est pas finie mon vieux. Tu picolera aprés.
Il se tourna vers l'allemand et lui décrocha un gigantesque coups de pied dans la figure, réduisant son nez à un tas de cartylage écrasé.
Collez moi ça en tole, pas de bouffe pas de flotte.... On le pendra demain
EldorachEldorach traînait le morceau de chair sanguinolent en lui chuchotant sur un ton de confidence
Tu vas voir Hienrich, on a un super gnouf au sixième sous-sol. Top qualité, avec du ras de gros calibre et un portier sodomite. Du grand luxe, un repas tous les deux jours et de l'eau à peine croupissante. Je te garantis que tu vas t'y plaire
- Citation :
- Pour la petite histoire, le lieutenant allemand ne sera pas pendu le lendemain, grace à l'intercession de Nikos. Le prisonnier sera envoyé en prison "jusqu'à la fin de la guerre", on verrait après...